2018 - montagnes-eaux

montagnes-eaux : quand nous étions paysageables, 21.V.2018, vers 16h, fleurs de glycine de Chine, vasques de terre cuite, eau, terre, air, trois cercles, ø 100 cm chacun, dans la lumière de l'atelier

montagnes-eaux : quand nous étions paysageables, 21.V.2018, vers 16h, fleurs de glycine de Chine, vasques de terre cuite, eau, terre, air, trois cercles, ø 100 cm chacun, dans la lumière de l'atelier

montagnes-eaux : quand nous étions paysageables - l'air, 10.V.2018, vers 17h, fleurs de glycine de Chine, vasque de terre cuite, eau, un cercle de ø 100 cm, dans la lumière de l'atelier

montagnes-eaux : quand nous étions paysageables, 21.V.2018, vers 16h, fleurs de glycine de Chine, vasques de terre cuite, eau, terre, air, trois cercles, ø 100 cm chacun, dans la lumière de l'atelier
François Jullien, Vivre de paysage. Ou l’impensé de la Raison, Paris, Gallimard, 2014, p. 44 : « On a quitté d’un coup la question de l’‘étendue’ et son abstraction des qualités sensibles (la réduction à sa seule dimension spatiale) pour entrer dans un champ de mises en tension innombrables, d’autant d’opposés qui coopèrent. Tout ‘point de vue’ s’en retirant, il n’y a plus du monde s’étendant face à moi, se détachant du moi-sujet comme une vue ou comme un spectacle, à la fois faisant obstacle à l’extension de mon regard et concentrant celui-ci en l’arrêtant. Je ne suis plus ‘devant’ mais entre ».