2018 - forêts

dans tes seins, mes clous : la forêt crucifiée, 23.VIII.2018, installation, 3 branches d'arbre, 405 chevrons de charpente en épicéa (hauteur : 3,5 cm, largeur : 3,5 cm, longueur : 450 cm), attaches en plastique noir, hauteur : 220 cm, largeur : 105 cm, longueur : 450 cm – vue d'atelier

dans tes seins, mes clous : la forêt crucifiée, 23.VIII.2018, installation, 3 branches d'arbre, 405 chevrons de charpente en épicéa (hauteur : 3,5 cm, largeur : 3,5 cm, longueur : 450 cm), attaches en plastique noir, hauteur : 220 cm, largeur : 105 cm, longueur : 450 cm – vue d'atelier

dans tes seins, mes clous : la forêt crucifiée, 23.VIII.2018, installation, 3 branches d'arbre, 405 chevrons de charpente en épicéa (hauteur : 3,5 cm, largeur : 3,5 cm, longueur : 450 cm), attaches en plastique noir, hauteur : 220 cm, largeur : 105 cm, longueur : 450 cm – vue d'atelier

dans tes seins, mes clous : la forêt crucifiée, 23.VIII.2018, installation, 3 branches d'arbre, 405 chevrons de charpente en épicéa (hauteur : 3,5 cm, largeur : 3,5 cm, longueur : 450 cm), attaches en plastique noir, hauteur : 220 cm, largeur : 105 cm, longueur : 450 cm – vue d'atelier
Une crucifixion.
Mais bien réelle, elle.
Mercredi 23 août 2017 : le président brésilien Michel Temer abroge le statut de réserve naturelle de près de quatre millions d’hectares de forêt amazonienne, qui pourront ainsi être exploités à l’avenir par des entreprises minières privées ; ce décret met fin à la réserve créée en 1984 dans laquelle seules les compagnies publiques pouvaient procéder à des exploitations.
Un an après, qui se souvient ?
Un après, qui se soucie ?
Mardi 28 août 2018 : le ministre français de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, démissionne de ses fonctions.
Et ceci, qu’un ami te fait lire dans la presse nationale française (Michel Leclercq, « Au Brésil, la guerre contre l’environnement de Bolsonaro », Le Figaro, vendredi 26 octobre 2018, p. 16) :
